1er mai 2019. Mais que fête-t-on au juste de nos jours ?
Vous vous rappelez, au XXème siècle, nos ancêtres se sont battus pour nos droits du travail et la journée de 8 heures.
Mille mercis à eux pour leur combat, pour ce qui semble « normal » de nos jours.
Et maintenant, en quoi est-ce toujours une fête ?
Pourrait-on alors imaginer que ce 1er mai puisse devenir aussi la fête du Sens au Travail ?
L’occasion de célébrer et questionner aussi la contribution, l’épanouissement et l’agilité de chacun.e d’entre nous dans son parcours professionnel.
Et d’accompagner les entreprises / organisations dans leur propre adaptation à ces profondes mutations du monde du travail, au service de l’humain et de l’environnement.
Mais pourquoi le besoin de Sens au travail prend une telle ampleur actuellement ?
Parce que nous avons besoin de comprendre pourquoi nous faisons ce que nous faisons, et d’en voir les résultats concrets.
Finie cette fameuse dissonance cognitive – lorsque nos actes sont en contradiction avec nos convictions / émotions – nous voulons de la cohérence entre ce que nous faisons et ce en quoi nous croyons, nous avons besoin de congruence. Et ces deux éléments sont des leviers super puissants, sources de motivation et d’engagement, d’affirmation de soi, de changement de rapport aux autres et à son environnement.
Burn-out, bore-out, nouveaux modes de travail / gouvernance, slasheur, entrepreneuriat, intrapreneuriat, bullshit jobs, futurofwork, transition et reconversion professionnelle, bien-être au travail, et j’en passe…
Tant de nouveaux mots devenus à la mode sur l’évolution du monde du travail, et traduisant de nouveaux élans, de nouvelles perspectives, de nouvelles transformations, et n’ayant pas la même signification pour chacun.e d’entre nous.
J’ai l’impression que derrière tous ces termes, on converge souvent vers les mots SENS et AGILITE.
Bien sûr, il pourrait y en avoir tant d’autres.
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